Le duo français NinjA Cyborg s'installe dans le paysage de la synthwave française avec un premier EP Night of the Cobra, et un bel inédit sur la compilation French Synthwave Vol 2 que l'on vous fait découvrir.
NinjA Cyborg nous entraine dans son trip avec un film en stop motion bien barré conne on aime pour le single The Sunny Road
Fans de synthwave ? De synthés vibrants et trépidants . Voilà une découverte qui devrait vous faire plaisir : NinjA Cyborg.
NinjA Cyborg c'est une amitié de longue date entre deux musiciens très actifs du sud ouest, et un amour pour la culture de leur enfance. Les années 80 regorgent de pépites du 7eme arts, mises en musique par des armées de synthétiseurs et autre boites à rythme fraichement débarquées sur le marché. Les années 80 c’est aussi l’arrivée des jeux vidéos dans les foyers, et avec eux un univers musical tout aussi renouvelé. Les créateurs regorgent alors d’idées toutes plus kitchs et ringardes quand il s’agit de raconter des histoires de combat. Et le NinjA Cyborg est certainement le seul héros de cette époque qui n’aura ni existé au cinéma, ni sur console. Marc et Martin ont donc décidé de lui donner vie au 21eme siècle.
La vidéo de The Sunny Road :
On retrouve dans la musique de NinjA Cyborg une influence majeure : John Carpenter. Au côté des musiques de jeux vidéo aux ambiances horrifiques, le cinéaste et musicien est l’influence principale revendiquée du nouveau courant synthwave. On retrouve dans ce genre musical l'utilisation d'instruments mythiques et influents tels que l’E-Mu Emulator II, le Korg Polysix, le Minimoog Voyager, l’Oberheim OB-X et tant d’autres. Des instruments qu’utilisaient les plus grands comme Tangerine Dream, Depeche Mode, Jean-Michel Jarre, Vangelis, John Carpenter, etc.
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