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Des Fleurs pour Algerrnon, peut-être avez-vous vu le film, lu le livre, mais si vous n'avez pas vu Grégory Gadebois, magistral dans son interprétation de la pièce, alors, courez-y, vous ne le regretterez pas.
A partir du 07 février 2014, la pièce reprend au Théâtre Hébertot après une tournée triomphale, et c'est une aubaine d'aller la voir.
Si vous ne deviez aller au Théâtre qu'une fois ces prochains mois, c'est à Hébertot que cela se passe.
Deux comédiens exceptionnels en la personne d'Audrey Dana et Sami Bouajila, qui dévoilent une palette de rôles à faire trembler le cours Florent ! Dans RING, joué dès le 01 octobre au Théâtre du Petit Saint Martin, il est question d'intimité, de vie amoureuse, et de tout ce qui va avec, la complicité et la souffrance, le rire et la trahison. On ne va pas vous faire un dessin.
Le plus étonnant est le texte de Léonore Confino qui s'affranchit des clichés gnangnan, et parvient à faire du neuf avec du vieux. Sacré performance quand on y songe, et elle peut remercier Catherine Schaub pour la mise en scène de l'intimité amoureuse de chambre à coucher revisitée façon Bob Wilson, croyez-moi, on est aux premières loges pour le grand déballage. Et c'est qu'on en redemanderait !
À partir du 1er octobre Du mardi au vendredi à 21h, le samedi à 16h et 21h.
Théâtre du Petit Saint-Martin
17 rue René Boulanger 75010 Paris Métro Strasbourg-St-Denis
Une sacrément bonne suprise car on regrettait de n'avoir pas vu la rencontre monumentale Michel Aumont - Didier Sandre dans ce texte très fort de Ronald Harwood. C'est chose faite avec la pièce Collaboration reprend au Théâtre de la Madeleine dès le 25 janvier 2013.
Collaboration joue sur le double sens du mot. Il évoque le travail qui réunit le compositeur Richard Strauss et l’écrivain Stefan Zweig autour de l’écriture d’un opéra, mais aussi l’attitude conciliante du musicien envers le régime nazi. Juif et conscient de l’embrasement du mal, Zweig hésite entre l’exil et le profil bas. Il admire Strauss tout en méprisant son attitude. Certain de son impunité, Strauss le soutient en lui proposant de collaborer à l’écriture du livret de La Femme silencieuse. Strauss ira jusqu’à braver la prohibition de tout nom juif au générique d’un spectacle, imposant le nom de Zweig sur l’affiche, entraînant l’interdiction de l’œuvre après seulement trois représentations triomphales.
Une pièce de Ronald Harwood Texte français de Dominique Hollier Mise en scène Georges Werler
Avec Michel Aumont, Didier Sandre, Christiane Cohendy, Stéphanie Pasquet, Patrick Payet, Eric Verdin, Armand Eloi.