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A déguster le soir à l'heure du thé, ou bien à l'heure du fish and chips et de la bière, cela ira aussi ! High Hazels fait de la pop, comme les Beatles, les Smiths, Supergrass, The Coral, The Artic Monkeys, Interpop, et bien d'autres avant eux. Et vous savez quoi ? C'est très bien comme ça !
Monogrenade nous séduit avec son univers fort, et original, développé tout au long de l'excellent deuxième album Composite, comme une fresque électro rock pleine de mots et d'images qui soulèvent le coeur et font dresser les poils. Sur « Labyrinthe », Jean-Michel Pigeon rejoint par sa compatriote Marie-Pierre Arthur nous perdent ensemble dans les dédales mouvementés d’un titre à l’allure plus rapide, plus urgente alors que « L’aimant » vient décomposer l’instant en un puzzle orchestral vivant et chargé d’émotions.
Éternel perfectionniste, Monogrenade sème à tout-va ses larges inspirations pour nous offrir des titres toujours changeants, à l’image du folk romantique et entraînant de « J’attends », de l’électro pop aux textes futuristes de « Métropolis » et du ténébreux « Phaéton » à la conclusion fatalement belle et forte.
Incroyable, voici un duo inimaginable, soit Boys Noize et Gonzales rassemblés pour un projet ensemble nommé Octave Minds. Encore assez mystérieux, le disque est prévu en septembre avec un premier titre In Silence de haute volée :